D'une fenêtre, le ciel Carole Detain lire en ligne

D'une fenêtre, le ciel

Carole Detain / Chroniques

D'une fenêtre, le ciel Carole Detain lire en ligne - D'une fenêtre, le ciel par Carole Detain ont été vendues pour chaque exemplaire. Le livre publié par Edilivre-Aparis. Il contient 355 pages et classé dans le genre Chroniques. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 4.2 des lecteurs 165. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.

Détails de D'une fenêtre, le ciel

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Titre du livre : D'une fenêtre, le ciel
Auteur : Carole Detain
ISBN-10 : 2332718052
Date de sortie : 06/05/2014
Catégorie : Chroniques
D'une fenêtre, le ciel Carole Detain lire en ligne - D'une fenêtre le ciel est le récit de la vie d’une femme entre deux étés, le temps d'une année scolaire. Sont évoqués dans ce livre ses relations avec son mari, avec ses enfants, ses efforts au quotidien, pour qu'ensemble la vie ne se délite pas, pour qu'elle garde du sens.Ces pages sont aussi le récit d'une recherche entreprise pour tenter, au sein de contraintes définies et choisies, d'affirmer sa liberté propre. La question se pose, pour cette femme, de s...
Catégories : Chroniques

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Commentaires recueillis à partir du groupe de lecture de Saint Sulpice (Paris 6)Carole Détain écrit des romans d'autofiction. Elle publie depuis 2005 un roman par an (principalement chez Edilivre) .Claude B.Grande puissance d'écriture , étant un homme je découvre univers féminin , ce qui me surprend : le côté sacrificiel de la mère qui est prête à tout accepter de la part du fils aîné , des passages passionnants , Maude a beaucoup d'amour à donner et elle reçoit peu , c'est ma lecture , être plongé dans un univers féminin est très instructif , selon moi, ce n'est pas un roman , c'est un journal , les événements se répètent avec d'infimes variantes, Suite le lecteur qui souhaiterait un dénouement , une résolution aux problèmes , une évolution , en d'autres termes une vraie trame romanesque sera déçu, celui au contraire qui veut pénétrer dans la matière et la trame même de la vie trouvera très largement son compte.Bory P.écriture sur la vie quotidienne, dans laquelle on se sent toutes concernées par le rôle de mère... un beau portrait d'une amie et belle description de l'amitié...Emmanuel B : c'est le murmure d'une rivière. Maude nous parle des arbres qu'elle écoute, de sa vie, de son travail d'écriture, qu'elle fait sans se plaindre. Maude écoute beaucoup. C'est fluide, optimiste. Maude a vécu la guerre sans y être née. C'est la bataille de la vie.Denis F… je « goute » vraiment ces textes autobiographiques. Ils sont tournés de telle façon que l'on est dans un long roman qui « accroche ». Beaucoup de choses sur l'être et la vie sont dites au passage du quotidien. J'aime cette toute nouvelle forme de littérature … C'est vraiment dire le monde ainsi que le titre nous le suggère…désirée B.Touchant - Réaliste - Juste- Drôle - La vie que décrit Carole d'reflète les sentiments d'une mère pour ses enfants : vont ils réussir ? et surtout : vont ils réussir comme elle le voudrait ? La nouvelle de la réussite au bac de son fils illumine son quotidien. A tous elle apporte son soutien, ses encouragements. A l'amie comédienne, Fanny, qui attend une réponse pour un rôle, à ses fils, à son mari, toujours le ne t'inquiète pas intervient comme une sorte de leitmotiv pour adoucir la vie, aplanir les difficultés.Le style de Carole d'épouse les aspérités de la vie de tous les jours, avec tendresse et humour.Maggy Decosterriche en événements palpitants.Des tranches de vies dont on dirait autobiographiques qu'on découvre fil des pages.La détresse de Maud essuyant un échec dans sa quête désespérée de l'amour maternel. Cela fait penser à Lamartine quand il avance :« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé ». Rien de tel que l'écriture comme exutoire. « Un ami véritable est une douce chose comme dit La Fontaine » en témoigne le support mutuel entre les amies.Une mère est le garant de la réussite de ses enfants donc elle doit tout assumer jusqu'au bout mais on nul n'est infaillible. Maud doit toujours trouver la bonne méthode pour atteindre le but donc elle ne manque pas de déployer des trésors d'intelligence. Elle finit par triompher avec la réussite aux examens de ses fils : c'est le cas de dire que « la patience est amère mais ses fruits sont doux » ou encore « A vaincre sans péril on triomphe sans gloire » pour répéter CorneilleLa vie de couple n'est jamais un long fleuve tranquille, ce qui est nettement une évidence pour la narratrice. Dans ces heures de troubles le seul recours demeure la spiritualité.Une suite d'événements qui se lisent comme un journal intime. A part l'évocation de la vie familiale dans ses différentes acceptions, l'amitié dans le sens noble du terme occupe une place importante dans ce livre. Tout est dit avec beaucoup de sincérité. Une écriture dynamique et agréable. La narratrice a un regard extraverti qui dénote bien le titre de son livre , en l'occurrence: UNE FENETRE OUVERTE SUR LE CIEL(Séverine M.)au premier regard c'est la gentille chronique d'une famille, classique, dépeinte par petites touches agréables avec une écriture à la fois classique et personnelle. Mais, s'ouvrent des fenêtres discrètes sur des profondeurs inattendues de tendresse, de dévouement, de dépassement de soi,. Toute une société aussi, particulière, nimbe le groupe de ses richesses. Il y a surtout, partout, un dévouement inné qui secrète qui sécrète sa propre et joie chaleur bonheur …Isabelle S)J'ai vu de la douceur dans ce livre , je suis mère de famille , je trouve que tout se passe bien , pour moi c'est exactement comme ça la conjugalité , tout va bienMarie flore LJ'ai apprécié la petite musique douce et nostalgique qui parcourt le récitBalance faite d'envols, de suspens, suivis de retombée sur terre. Sous un style léger, se dissimulentles tremblements du passé-futur. La femme-funambule redresse un équilibre précaire, à chaque instant détruit.Le moindre incident du quotidien l'inquiète, l'arrête, la détourne de son objectif.Ovation à la liberté, à la nécessité de l'accomplissement contrecarrée par des retours incessants vers l'autre,qu'elle échoue à satisfaire.Les balades sur les chemins côtiers du Golfe du Morbihan, revisités de jour en jour, laissent les empreintesdes circonvolutions incertaines de l'âme féminine.Xavier BMe fait penser un certain type de musique contemporaine où les choses sont douces et glissent en apparence mais elles s'arrangent imperceptiblement d'un moment à l'autre , en glissements, sans même qu'on s'en rende compte , et pourtant elles changent, on se laisse porter et quelque chose au fond bouge.Les noms des compositeurs contemporains auxquels ce livre m'a fait penser : Steve Reich et Philip Glass.facile à lire , style fluide , style travaillé, je préfère ce style classique plutôt que hachéM'a fait penser à l'émission « nos voisins», à la télévision, du point de vue de la structure, des saynètes, les unes après les autresM'a fait penser un écrit qui s'apparenterait au théâtrel'angoisse n est pas presente : puisque c'est un récit , que la vie continue . Lorsqu'il y a un accrochage par exemple , le restaurant , un désaccord entre le mari à la femme , cela se termine, et on reprend la suite, non pas d'angoissecela passe trop vite pour qu'il y ait de l'angoisse, ce n'est pas comme dans un roman où il y a développement , et des drames approfondis etc. ici cela glisse, cela file…c'est plutôt harmonieuxd'ailleurs , le but de la vie de cette femme , c'est que tout se passe bien , de la rondeur et de la douceur, non : pas d'inquiétudebien sûr , à la fin on évoque les inquiétudes à venir , mais comme c'est une tranche de vie , on sait que la vie va continuer , on n'est pas trop inquiet, ce livre : des nouvelles de la famille qui nous sont donnéesun récit de tranche de vieà la fin on voudrait que ça continue puisque la fin est ouverte vers un avenir(Sylvie F)Acuité du regard et la précision de l'écriture de l'auteure-narratrice, Maude, qui dépeint sa vie d'épouse, de mère, d'écrivain et d'amie fidèle.Carole Détain nous surprend ; car s'il s'agit d'un récit de vie, c'est d'une vie en creux qu'il est question, une vie dont l'action, les situations, les événements sont sous-dimensionnés au profit de la relation intériorisée de l'auteure-narratrice. La vie, dans tous ses petits et grands moments quotidiens, y est croquée, disséquée, décortiquée. Non pas à la manière d'un journal ou d'une chronique, mais plutôt d'une réflexion thématique, pas à pas, où s'égrènent les pensées et les sentiments de Maude -son affection simple et calme pour son mari, Thibault, à Paris et en Bretagne, l'attention portée à ses enfants, à leur bien-être, à leur réussite, et surtout les relations amicales qu'elle noue avec ses amies.Le récit de Carole Détain nous emmène aussi dans des lieux de vacances, là où les vérandas et les balançoires fleurissent, là où peut-être le repos et la douceur de vivre nous attendent.–(Madeleine de C)L'auteure nous offre une vision kaléidoscopique d'une vie famille rythmée par des événements en tous genres. Place y est aussi faite à l'amitié solidaire.Maude, c'est aussi une bonne vivante qui, tant de fois, plane dans les hautes sphères du rêve mais elle arrive toujours à trouver les moyens de faire face aux écueils de la vie. Une vie où tant d'éléments lui reviennent comme des ritournelles tantôt douces, tantôt douces-amères.Un gros livre (3volume) et pourtant facile à lire et d'un style irréprochable. (Pete Giordano )j'ai aimé cette histoire qui se prolonge et qui oppose plus ou moins deux caractères, deux mondes, deux sensibilités, à savoir Maude et Thibault et aussi les enfants, Luc, à qui on a toujours envie de donner des « coups de pieds dans le C » , et Romain, qui suit ou qui précède suivant les moments. J'aime aussi l'analyse et l'aide des amies qui jouent parfois aux « coaches»…Ce que je souligne :… «… Maude, dans le lâcher prise, j'ai un doute… ».J'ai souligné les mots « elle est besogneuse », oui ! Une femme besogneuse « la mère courage ».… les notes par rapport à l'écriture qui est une aide à vivre et une antidote contre l'ennui…… et puis la trêve entre Maude qui n'a plus l'écriture et Thibault qui est là pour jouer au boyfriend et plus si affinités et affinités il y a… belle compensation et amour toujours…… et aussi l'amour du Père « il ne peut être plus heureux que lorsqu'il est dépassé par ses enfants »…… et puis comme je me suis amusé quand il est écrit « ils y adoraient leur conversation plutôt menée par Maude », ce qui laisse songeur et qui donne envie de se transformer en petites souris ou en mouche espionne…… j'ai bien aimé l'interprétation du personnage Nicolas Hulot… Il est vrai que les commentaires sont « tarte » et comiques… touchant ausssi le cadeau ; il n'y a que Thibault pour faire ce genre de cadeau. Pour faire un cadeau, il faut bien connaître la personne !J'ai bien aimé le clin d'oeil à Joyce Carol oates (petite soeur mon amour), auteur très apprécié de Carole. Bien aimé aussi le clin d'oeil sociétal avec « on refait désormais sa vie à tout âge », on a toujours cette illusion qu'enfin on trouvera son âme soeur.Quant à être affligé en tant que « pauvres gens riches » en comparaison des « pauvres gens pauvres », on peut penser au prix Nobel d'économie sur le bonheur qui a défini le « bonheur national brut » selon lequel être trop riche nous rend « malheureux ».Clin d'oeil aussi au moniteur qui doit être blasé des « nanas » et qui un 1er janvier se retrouve seul. Des passages que j'ai envie de souligner :… « leur vie était devenue plus douce, c'était l'évidence » : oui, on trouve une évolution du couple depuis « dire le monde ». La pression a baissé. Luc a eu son bac.… J'ai beaucoup ri quand j'ai lu « elle était originale » (il s'agit de Maude)… le repas familial avec les beaux-parents qui est ennuyeux, que je comprends. le manque de palpitations, le manque d'intérêt…… la névrose de Maude qui revient à grands pas , qui est tapie dans l'ombre, c'est-à-dire la menace de la tristesse… le coup des SMS (pour comptabiliser les coups de déprime de Maude) : fou !… Et comment l'auteur se voit « une brindille sèche et fragile »… quel manque de confiance en soi-même…. Que dut être la mère de Maude ?… «Maude supposait que ses enfants seraient plus épanouis si elle-même progressait en ce domaine » (vaincre la tristesse) : c'est vrai, c est fondateur.… j'ai bien aimé, enfin, façon de parler, le passage sur la difficulté qu'on peut avoir à écrire, pour se concentrer.… « Thibault avait été un super professeur particulier' , j'ai écrit ‘je pense que c'est une manière d'infantiliser ses enfants »… clin d'oeil aux ateliers d'écriture de l'auteur.… j'ai trouvé injuste que pour avoir « la paix au sein du ménage » l'auteur se « farcisse » une matière scolaire qui non seulement ne l'intéresse pas mais infantilise Luc. Je partage le raisonnement de ses amies avec cette chute « la simple conséquence de ses actes ». C'est bien raisonné.… on retrouve souvent le mot « courage ».… souvent « persister » comme pour « persévérer ».J'ai bien aimé l'adage –le moins on n'en fait le moins on a envie d'en faire–… OK avec l'analyse des amis…… je comprends le besoin de prendre un traitement antidépresseur.… idée qu'il faut changer de l'intérieur.Et puis fin, j'attends la suite, mais déjà il y a matière à faire une belle série télé qui pourrait s'appeler–dire la vie–ou encore dire le monde§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§BelmiJe retrouve le choix thématique de l auteure. Son genre. le récit inspiré des jours qui passe. de la vie de famille de l auteure , ce me semble. L'auteur a un style classique. Beaucoup de descriptions. le lecteur et la lectrice sont invités à se poser. le livre arrête la vie. L'auteur l'observe. La vie passe au ralenti. Elle est détaillée : les actions, les décors et les humeurs sont dépeintes. Une vie heureuse est décrite. Avec les quiproquos familiaux et les sautes d'humeur inévitables. le texte est empreint de sérénité. Quoique Maude et Thibault se préoccupent de l'avenir de Luc et Romain. Jusque-là, je me disais :, Où tout cela va-t-il mener le lecteur, la lectrice ? " Et mon expérience de la lecture des sept tomes me revient. Les tomes de Proust. J'ai lu curieusement les tomes avant Albertine. Et, à la suite de Albertine disparue, j'ai retrouvé les raisons de mon questionnement sur les visées de Proust. (ça reste mes propres hypothèses) de même concernant Au coeur de la montagne, j'ai retrouvé une probable réponse à ma prime question : où Carole D. Veut-elle nous mener ? Bien sûr, je suis en train de raccourcir les objectifs de cette création. Sans nulle doute. Bien sûr, une oeuvre véhicule un sens, un message, un flash de vie, une séquence humaine, la reconstitution d'une époque... Mais, l'auteur ne nous cache pas l'aspect stylistique, plastique et formel de sa création ? Je dirais oui. Albertine disparue m'avait touché et réveillé de ma torpeur, devant les tomes précédents lesquels me paraissaient un préambule interminable.. Oui quatre ou cinq tomes de Proust à considérer comme un simple préambule, personne n'y a jamais pensé avant Belmi... Une hérésie peut-être ? Je l'assume. En tout cas, le résultat est là. J'ai adoré Albertine disparue. Et le temps retrouvé m'a réconforté dans mon doute. Sans les tomes d'avant, je n'aurais pas apprécié ces deux tomes-là. Idem pour ce roman. Elle nous promène et nous nous disons : alors, la guerre entre Maude et Thibault, ce sera pour quand ? Et celle entre les deux garçons ? Et celle entre les parents et les enfants ? ET de temps en temps des crises oui et Belmi est content. Là, il jubile et se dit : voilà, le tour de chauffe est fini. Carole D. est dans son élément. Au zénith de son talent. Ces moments tant attendus, par tout romancier, sont là, virevoltants, ravissants. le moment quand la plume slalome, oublie même le thème de l'oeuvre, le moment quand tout va comme sur des roulettes. le moment quand le lecteur se dit : "C'est ça. La page attendue !!! » Un éclair de génie illuminait le libre cours de l'imagination de l'auteur. Un chef d'oeuvre stylistique dans ces moments là….Jean-François B.j'ai pris un grand intérêt à cette lecture. À plus d'un titre. D'abord, quant à mon propre parcours, le parisien que je suis connais bien Chamonix, et encore plus précisément les ambiances de la ville de montagne, Briançon, à laquelle sont associés des échos affectifs poignants, et qui encore m'imprègnent. Mais allons à l'essentiel, je suis, bien sûr, très sensible à tous les développements sur la vie de ton personnage, sur ses souffrances, les « attaques de la tristesse, sa fidélité ne m'y », sur les combats de cette femme.Que de tumultes intérieurs pour cette Maude qui se veut médiatrice, « casque bleu » peut-être, au centre des relations complexes entre père et fils, et j'imagine bien ses efforts « exténuants d'équilibrisme ».J'avoue être intrigué par le dévouement infini de Maude à vouloir le succès aux examens de son fils, jusqu'à rédiger à sa place ses devoirs de droit social et autre.Je me demande par quel critère on définit la réussite d'une vie.En tout cas, de toute cette perspective, je comprends ce que représente la chronique familiale que tu traces sur tant d'ouvrages avec tant de détermination, une catharsis pour cette Maude s'opère , oui la littérature (on pourrait écrire ici le « journal ») est survie.La littérature, mais pas seulement un cheminement solitaire, car il y a les « amis d'écriture », une fois par semaine, la séance de « respiration » qui remet d'aplomb.en entrant plus dans la technique, je relève les réflexions sur la nécessité de « limiter l'écriture de premier jet ». Nous sommes, certes, confrontés dans nos pratiques au choix : contenir , endiguer , le flot de l'inspiration, c'est-à-dire exclure un terme de l'alternative, ou allier les contraires par le jeu d'un balancement expansion–resserrement.Et ce qui, en fin de compte, me retient le plus du point de vue littéraire, c'est ton regard d'observation de la scène ou de la comédie–humaine. Ainsi , le tableau des couples d'Italiens, avec ton admirable expression « la terne morosité ronchonnante de l'épouse », la description d'une certaine médiocrité, de quelques mornes bourgeois, le « pensum de vie ». Sans oublier en contraste, avec le « jeune homme d'allure sportive ».Allons ! Je vais me promener à nouveau dans la ville du Docteur Paccard, avec Saussure, aussi.Simone B)une famille lisse , il ne se passe rien , tout est harmonieux , il n'y a pas de crise , envie de secouer cette famille, je ne comprends pas la relation que les parents entretiennent avec le travail universitaire de leur fils aîné , en réalité je ne comprends rien à cette façon de fonctionner ; impression qu'il n'y a pas de vie , qu'il y a une grande angoisse habillée avec des mots lisses et un style travaillé, je suis à côté d'un mystère énigmatiqueAnne Rce livre m'a beaucoup touchée. J'ai vu Maude avec ses excès, ses zones d'ombre, ses pics de joie, son ardeur à tout écrire, à faire plaisir, et le désir que ses fils avancent dans la vie, sa volonté chevillée au corps, et le désir de ne plus tomber , et aussi une telle honnêteté à tout dire , tout écrire , tous les paysages des jours et des moments , j'aime la description , moment concret , instant de vie , comme dans la photo , de ces deux femmes qui sortent du café , le mari qui frappe à la porte de Maude, quand elle est tirste après être allée chez les beaux-parents , et Maude devant la télé avec ses hommes , et Maude écrivant même dans les boîtes de nuit !Le rôle des amies aussi qui conseillent.De belles amitiés.Hélène R… le titre choisi est bon : renvoie à la liberté trouvée au sein des contraintes . Maude en possède plus , de liberté , que dans les romans précédents et de l'énergie ser + Lire la suite

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